La vie des Goanais porte encore aujourd’hui m’empreinte de son passé colonial – et pas seulement au niveau de l’architecture. La joie de vivre à la goanaise est souvent décrite par le mot portugais de sossegarde, c’est-à -dire « nonchalance ». Sur la côte, comme ici à une embouchure du fleuve près de Baga, la vie des Goanais reste rythmée par la pêche, malgré le nombre croissant de touristes. Ils pêchent surtout des crevettes, des maquereaux et des sardines. L’architecture portugaise est encore très présente à Panaji, la capitale de Goa, les nombreuses églises blanches à la chaux. Source Terres d’horizon Inde
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