Etats-Unis

L’Ouest des Etats Unis d’Amérique, symbolise les conquêtes de l’ouest par les colons, les tragédies indiennes. Cette partie reste toujours synonyme d’aventure, de conquête, de liberté, de souvenirs d’une civilisation du passé par les villes fantômes, la route 66 qui en garde jalousement ses traces et les réserves indiennes sont toujours présentes par ses traditions. L’ouest des Etats Unis, c’est aussi des paysages somptueux, d’une nature n’existant nulle part ailleurs, Les parcs Nationaux sont les protecteurs de cette faune et de cette flore. La plupart de ces parcs expriment l’histoire de notre planète…

Phoenix :

Phoenix est à la fois la capitale et la plus grande ville de l’Etat de l’Arizona. A l’origine terrain d’agriculture sur les bords de la rivière salée, Phoenix est devenue, grâce à l’arrivée du chemin de fer, une ville mais aussi un important carrefour de commerces et d’administrations. Par la suite, avec le développement de l’automobile, Phoenix va devenir un centre de villégiature important.

La ville possède de nombreux zoos, parcs, musées et quartiers témoignant de la diversité de ses habitants. Mais Phoenix est surtout connue pour sa situation géographique (au sud du pays) et son climat sec et chaud. En effet, sa proximité avec le désert de Sonora et ses températures lui ont valu le surnom de « Sun City ».

Celle-ci présente un important réseau de transports (tramway, trains, avions …), avec lesquels on peut se rendre à l’Arizona State Capitol ou encore au Phoenix City Hall, en passant par les buildings du Downtown Phoenix et la Central Avenue.

Peu importe où vous séjournez dans le Greater Phoenix (qui englobe Phoenix, Scottsdale, Tempe, Mesa et Glendale), vous aurez toujours accès à une importante variété d’activités de plein air et à des services de classe internationale. La région offre tout ce qu’il faut pour satisfaire les visiteurs les plus curieux et pour éblouir les voyageurs les plus aguerris. Que vous désiriez arpenter les pavés de la ville ou vous échapper dans le désert, votre séjour restera mémorable !

Vélo de montagne, randonnées pédestres, ski nautique, expéditions en jeep, balades en montgolfière, vols en avion ultraléger et descente en eaux vives… autant d’activités qui vous permettront d’explorer cet endroit magique en tous points de vue.
À l’ouest des États-Unis, bordée par l’océan Pacifique, la Californie représente tout l’attrait d’un « bout du monde », à la fois fortement urbanisé et très sauvage. Mer, montagne et désert se trouvent aux portes des villes, elles-mêmes plutôt ouvertes sur la nature.

Pour nous Européens, la Californie, ce sont d’abord des clichés familiers aperçus dans les médias, principalement dans les feuilletons télévisés : les stars du cinéma de Hollywood ; les joggeurs et les rollers de Venice Beach ; les sirènes de Santa Barbara et les surfeurs de Malibu ; le fameux Golden Gate Bridge qui domine l’entrée de la baie de San Francisco ; les usines à la campagne de la Silicon Valley et la mégapole tentaculaire de Los Angeles.
Ciel bleu et température douce presque à longueur d’année offrent une qualité de vie incomparable. Si l’on ajoute à cela une santé économique qui fut longtemps enviable, on comprend pourquoi beaucoup d’Américains et de migrants veulent encore s’installer en Californie. Car le « Golden State » est devenu un nouveau centre du monde, où des vecteurs de croissance économique originaux (d’abord la ruée vers l’or, puis l’industrie du cinéma, et aujourd’hui les nouvelles technologies et la viticulture) ont assuré une prospérité sans pareille dans l’histoire du pays.
Aujourd’hui, malgré la récession de l’économie nationale, le creuset du développement et de la richesse des États-Unis se trouve toujours entre San Francisco et San Diego. La Californie demeure donc le moteur du rêve américain, qui poursuit sa course au rythme inlassable des vagues qui bercent les côtes.

Death Valley :

ituée à un peu plus de 130 miles au nord-ouest de Las Vegas, Death Valley (la vallée de la Mort), un des sillons les plus profonds dans l’hémisphère nord, s’enfonce à 86 m sous le niveau de la mer. D’une superficie de 13 354 km2, c’est le plus grand parc national des États-Unis, devant Yellowstone, et le point le plus chaud et le plus aride de tous les États-Unis : un désert impitoyable où la température, en été, dépasse constamment 40°C à l’ombre. Le paysage, à la fois grandiose et lunaire, offre le spectacle d’une région brûlée par le soleil mais d’une incroyable diversité : montagnes et mer de sel, canyons et cactus, palmeraie et dunes de sable, cratères et phénomènes géologiques.

Santa Monica Beach :

Très populaire et animée en été, Santa Monica Beach est réputée pour sa jetée (Santa Monica Pier) avec sa fête foraine permanente. Faites un crochet par 3rd Street Promenade. Cafés et restos branchés, beau complexe cinématographique, nombreuses boutiques sophistiquées et, bien sûr, pas mal d’animation (musiciens, saltimbanques, portraitistes…) vous y attendent.

Beverly Hills :

Situé entre Hollywood et Santa Monica, Beverly Hills n’est pas un simple quartier, mais une vraie ville avec une mairie et une administration distinctes du reste de Los Angeles. Stars du cinéma (du disque aussi) et producteurs ont pris l’habitude, depuis le début du XXe siècle, d’habiter à Beverly Hills, une incroyable zone résidentielle enfouie dans la végétation subtropicale, à deux pas des grandes « usines à rêve » d’Hollywood. Des circuits touristiques sont organisés pour voir les villas de star (enfin, le plus souvent les murs de clôture) et on peut aller faire son shopping à Rodeo Drive comme Julia Roberts dans Pretty Woman.

Los Angeles :

S’étendant grâce à son réseau tentaculaire de freeways, Los Angeles dévore tout sur son passage. Métropole riche et bouillonnante, et pourtant inégalitaire (plus de 22 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté) et travaillée de l’intérieur par une foule de problèmes sociaux et de conflits ethniques, voilà une agglomération sans centre véritable, sorte d’immense puzzle de quartiers vivant chacun de façon autonome, avec sa splendeur et sa misère.
Los Angeles frappe par son horizontalité verdoyante, ses espaces verts, l’omniprésence de la nature : proximité du désert, abondance des arbres, des taillis. Hormis les tours de Downtown où les gens travaillent mais n’habitent pas, Los Angeles ressemble à une banlieue à perte de vue.
Avec plus de 10 millions d’habitants, Los Angeles est la deuxième ville américaine après New York, et sera la capitale de l’empire économique du Pacifique. En moins d’un siècle, elle est devenue le berceau d’une culture capable de s’exporter dans le monde entier. Tout a commencé avec l’usine à rêves d’Hollywood. Puis ont été inventés des objets et des modes de vie qui ont fait le tour du monde : le roller, le body-building, le jogging.
Point d’aboutissement de la conquête de l’Ouest, point d’arrivée de la fameuse Route 66 qui commence à Chicago et s’achève à Santa Monica face au Pacifique, Los Angeles continue, en dépit de la pollution qui la gangrène et de la mise au ban de ses laissés-pour-compte, à porter le rêve américain à bout de bras.

Bryce Canon :

Le parc national de Bryce Canyon est un parc national américain situé au sud de l’Utah aux États-Unis.

D’une superficie de 145 km², le parc est renommé pour ses formations géologiques composées de roches colorées aux formes coniques et âgées de dizaines de millions d’années. Le parc est constitué de zones élevées et semi-arides, et présente un ensemble d’immenses amphithéâtres naturels parsemés de nombreux hoodoos produits par l’érosion du plateau de Paunsaugunt.

L’occupation humaine de la région remonte à une dizaine de milliers d’années mais aucune preuve archéologique n’indique pourtant que l’Homme y vit en permanence. Les régions environnantes du parc sont habitées par des peuplades précolombiennes entre le iie siècle et le xiie siècle, puis par des Amérindiens Païutes qui y limitent leurs activités à la chasse et la cueillette.

Sedona :

Sedona est une ville de l’Arizona aux États-Unis située à une centaine de kilomètres au sud de Flagstaff à cheval entre les comtés de Coconino et de Yavapai dans la région nord de Verde Valley. Selon les évaluations2005 du bureau de recensement, sa population est de 11 220 habitants. L’attraction principale de Sedona est la variété qu’elle offre de formations de grès rouge, les « roches rouges de Sedona ». Les formations semblent varier entre l’orange brillant et le rouge au lever et au coucher du soleil. Sedona est baptisée du nom de Sedona Miller Schnebly (1877-1950), épouse du premier receveur des postes de la ville, connue pour son hospitalité et son activité.

Route 66 :

La Route 66 (officiellement U.S. Route 66) était une route américaine qui joignait Chicago (Illinois) à Los Angeles(Californie) entre les années 1926 et 1985 aux États-Unis.

Sa longueur a beaucoup varié au gré des années et des remaniements de son tracé, notamment à partir de 1937, où la Route 66 a cessé de desservir la ville de Santa Fe, au Nouveau-Mexique. La longueur communément admise est celle postérieure à ce remaniement, soit environ 2 280 miles (3 940 km). La Route 66 traverse trois fuseaux horaires et 8 États (d’est en ouest : Illinois, Missouri, Kansas, Oklahoma, Texas, Nouveau-Mexique, Arizona,Californie). Son point central se trouve dans la petite ville d’Adrian, dans le Texas. Elle fut la première route trans-continentale goudronnée en Amérique. Les Américains la surnomment The Mother Road ou Main Street USA.

La Route 66 a été officiellement déclassée le 27 juin 1985. Si elle n’a plus d’existence « officielle », elle conserve un caractère mythique et est sans doute la plus connue des routes américaines. Depuis le début des années 90, des mouvements se sont créés pour assurer sa préservation, et les initiatives visant à y développer le tourisme sont de plus en plus nombreuses. La route est ainsi à nouveau fléchée à plusieurs endroits sous le nom « Historic Route 66 ».

Grand canyon :

Le parc du Grand Canyon est situé au sud-ouest des États-Unis, au nord de l’État de l’Arizona. Les dimensions du grand Canyon sont gigantesques : il s’étend sur environ 450 km de long entre le lac Powell et le lac Mead. Sa profondeur moyenne est de 1 300 mètres avec un maximum de plus de 2 000 mètres4. Sa largeur varie de 5,5 km à 30 km.

Le Grand Canyon n’est ni le plus profond, ni le plus imposant des canyons terrestres : le Canyon du Yarlung Zangbo en Chine, le Barranca del Cobre, situé au nord du Mexique et le Hells Canyon dans l’Idaho sont des gorges plus profondes. Mais le site est remarquable pour les points de vue offerts aux visiteurs et aux couches géologiques qui apparaissent sur les versants du canyon, bien connus des géologues. Les strates racontent l’histoire du continent nord-américain. D’autre part, l’endroit est le résultat spectaculaire du travail de l’érosion, notamment celle du fleuve Colorado qui coule en contre-bas.

L’Amérique de l’Ouest vous donne envie ? Allez sur le site : http://www.neorizons-travel.com/nos-destinations/les-etats-unis-autrement

Bon voyage ! ;)

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