Conseils de voyage

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En Nouvelle-Calédonie

À faire

Visiter le centre culturel Tjibaou à Noumea : Inauguré en 1998, ce centre culturel est un hymne à l’histoire et au mode d evie kanak. Il met également à l’honneur la création artistique autochtone contemporaine. En prime, à l’extérieur, le « chemin kanak » propose un parcours végétal bordé d’espèces endémiques.

Faire la coutume : Pour pénétrer en territoire kanak et être sûr d’être bien accueilli, il faut faire preuve d’humilité : se présenter au chef du villageet lui offrir quelques présents, comme un paquet de cigarettes, un peu de monnaie ou encore des victuailles.

Passer par le nord : Rares sont les tours opérateurs qui invitent à découvrir le nord de la Grande Terre. Ce territoire a longtemps eu la réputation d’être un petit Far West, où chacun faisait sa loi. C’est faux. Les habitants sont d’une douceur extrême, les paysages, bien plus sauvages qu’au sud, et le mode de vie est demeuré très traditionnel.

À ne pas faire

Se baigner après 17 heures : Dès le coucher du soleil les eaux du lagon se troublent et les requins en profitent pour chasser.

S’aventurer seul dans la mangrove : Selon les Kanak, cette jungle du littoral abrite les esprits de leurs ancêtres. C’est aussi un lieu de nidification de nombreuses espèces de tortues, de serpents et de poissons. Sans le savoir, vous pouvez les déranger. Ils peuvent alors se montrer plus agressifs que d’ordinaire. Prenez un guide.

Acheter de l’artisanat n’importe où : La contrefaàon d’artisanat kanak existe : sculptures, masques, colliers sont parfois fabriqués… en Chine et vendus à Nouméa. Pour être sûr de ne pas se tromper, autant aller directement à la source dans les petits villages. Moins chers et authentiques?

Approcher les poissons sans se mouiller : Pour ceux qui n’aiment pas plonger la tête dans l’eau, il y a l’aquarium des lagons à Nouméa. Un lieu pédagogique qui regroupe a faune et la flore des eaux de Nouvelle-Calédonie. Évitez d’y aller les jours de pluie, tout le monde a la même idée.

En Polynésie française

À faire

Acheter de la vanille : Légèrement plus épicée que les autres, la vanille de Tahiti est considérée comme l’une des meilleures du monde. Deux îles sous le vent se sont spécialisées dans sa production : Ralatea et Taha’s. En général, les cultivateurs prennent plaisir à faire visiter les champs d’orchidées  et leurs atelies de séchage. Comptez entre 30 et 40€ pour 250g (deux fois moins cher qu’en métropole).

Boire du jus de noni : Rhume, maux d’estomac, grippe ou panaris… Les Tahitiens ne connaissent qu’un seul remède : le jus de nonni, un fruit en forme de pomme de terre à l’odeur repoussante. Ce breuvage écoeurant se procure en supermarché.

Se protéger du soleil : A Tahiti, il ne fait pas une chaleur étouffante et il y a souvent des nuages. Résultat : on ne pense pas à se protéger. À tort. En cas de brûlure, les Tahitiens possèdent un bon remède : l’huile de noix de tamanu.

Dormir chez Claire à Ua Pou : Les bungalows offrent une vue sur les pics de l’île. Cuisine traditionnelle au snack tenu par Claire. A partir de 70 euros la nuit.

À ne pas faire

Se promener bras nus : En particulier dans les paepae, sites sacrés des Marquises. Là réside un animal sournois et vorace : le moustique nono. Les démangeaisons interviennent trois heures après la piqure et sont redoutables. Seule parade : s’enduire de monoï. En cas de piqure, appliquez du citron vert à l’endroit de la lésion puis couvrez-vous car il est photosensibilisant.

S’énerver : Le temps des îles n’est pas celui d ela métropole. Ne vous affolez pas si votre repas arrive une demie-heure après la commande ou si vos rendez-vous ont du retard. Toute irritation vous fera passer pour un rustre.

Vous ruez sur les premières perles : Envie d’un collier à la Jackie Kennedy ? Tahiti est l’endroit de rêve. Mais encore faut-il savoir décoder les labels officiels : un A signifie qu’il s’agit de perles parfaites. Un D qu’elles sont de moindre qualité. Méfiez vous des AA++++ qui ne réfèrent à aucune codification.

Sur l’île de la Réunion

À faire

Assister à une marche sur le feu : Ce rite tamoul consiste à parcourir pieds nus un tapis de cendres brulantes. Ces érémonies sont accessibes toute l’année aux curieux.

Tester le « Pain-bouchon-gratiné » : Ce sandwich est aux Réunionnais ce que le jambon-beurre est au Parisiens. Dans une baguette sont introduits des « bouchons » (petits raviolis chinois à la viande), du siav (sauce soja) et de la sauce piment (précisez juste un peu). Le tout est ensuite nappé de gruyère rapé.

Passer une journée dans le Sud sauvage : Entre des coulées de lave qui semblent plonger dans l’océan, des forêts et des champs, de cannes à sucre, c’est une route magique qui file le long de la côte entre Saint-Pierre et Sainte-Rose. L’excursion parfaite quznd on n’a pas réussi à se lever tôt pour grimper au volcan ou dans les criques.

À ne pas faire

Se laisser aller à la grasse matinée : Si l’on veut profiter des montagnes et des panoramas, il faut mettre son réveil à une heure matinale. Car, l’après-midi, les criques et le volcan se retrouvent souvent plongés dans la brume.

Parler des requins et du « chik » : Les Créoles en ont assez qu’on les assome de questions sur les requins mangeurs de surfeurs ou le chikungunya, cette maladie transmise par un moutisque, qui cloua au lit 40% de la population en 2005. « De l’histoire ancienne », disent-ils.

Prendre en photo les Mafatais : Tous nous l’ont dit : les habitants du cirque de Mafate n’apprécient pas être mittraillés par les touristes. Mais discuter avec le passant, en revanche, ils adorent.

Source : Geo

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